Espoir pour la Paix de Moyen-orient
Ali Asghar Kazemi
Le 29 novembre, 2006
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Ceux qui ont condamné l'initiative Américain pour la nouvelle conférence de paix de Moyen-orient connue comme « le Sommet d'Annapolis » et ont lancé une campagne acharnée pour l’avorter, ne peut pas être considéré bienveillants pour la cause palestinienne. La raison simple pour cet argument est que dans la politique vous ne devez jamais renoncer l'espoir pour atteindre votre objectif. Puisque, il a été toujours dit que la politique est l'art d'impossible.
Pour mentionner seulement quelques exemples, il y a peu de temps, qui imaginerait la chute du Mur de Berlin, la fin de la Guerre Froide et l'effondrement de l'Empire Soviétique ? La vérité que multiple tentation de régler des problèmes profonds dans l’issue palestinienne ont échoué, ne doit pas entraver notre perception d'une paix juste et durable dans le conflit.
Le fait que l'initiative vient des Etats-Unis, comme un patron self-proclamé des affaires du monde, ne change n'importe quoi de la raison ni de la substance de l'entreprise. Si quelques pays ne se sentent pas a l’aise avec cette tentative à cause de leurs propres querelles avec les Etats-Unis, ceci ne donne pas certainement la raison pour leur attitude négative vers le processus de paix de Moyen-orient, à moins qu'ils aient d'autres intentions dans le dos de leurs esprits.
Il n'y a pas de besoin ici d'entrer dans le détail de cet argument ni est-il sage de préciser mal-veilleurs qui pour le bien de leurs propres objectifs malin investit sur l'obstruction de l'entreprise.
La Paix de Moyen-orient n'est pas un but lointain si les partis engagés directement dans le conflit, y compris les états et les factions politiques d’une part et tous les étrangers qui font semblant d'être plus catholique que le Pape, mais cherchent à régler leurs propres problèmes, cessent de poursuivre leurs intérêts égoïstes dans l'arène palestinienne. /
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