La crise de Moyen-Orient : Ironie ou décadence!
Ali Asghar Kazemi
15 août 2006
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Enfin le Conseil de sécurité des Nations Unies à adopte’ la résolution 1701 pour la cessation des hostilités dans la crise infortunée de Moyen-Orient. En effet, on se rappellera cette crise en tant qu'une calamité la plus idiotes et une page la plus noire de notre histoire courante.
Tandis que le sang des victimes innocentes est encore frais et lumineux sur les sols des parties faisant la guerre, les politiciens pervers d’un côté et le showbiz sans scrupules de médias de l'autre comptent stupidement les points de chaque côté pour déterminer le perdant et le gagnant de la guerre.
Demander à propos du vainqueur dans cette guerre malheureuse est comme la question au sujet du gagnant dans un terrible tremblement de terre, bien que des guerres ne devraient pas être considérées en tant que phénomènes normaux et inévitables des interactions humaines. Il n'y a aucun doute dans un esprit raisonnable que ce genre de guerre n'a aucun vainqueur mais seulement perdants qui sont seulement les peuples innocents et délaissés du Liban et de l'Israël qui ont souffert en raison de l'absurdité, de l'erreur de calcul et de la gestion mauvaise des politiciens.
Comme j'ai discuté dans mes commentaires précédents au début et pendant les hostilités, cette crise, négligeant des circonstances de son déclenchement et l'occurrence, pourrait être manipulée sans beaucoup de difficulté et d'ennui. Mais pour quelques raisons douteuses et obscures, il a commencé par la cruauté et a fini trop tard et avec le carnage étendu, la destruction et la violence inutile ; tandis qu'il pourrait être contenu et arrêté par le Conseil de sécurité de l’ONU et d'autres grandes puissances dès son commencement.
Des membres permanents du Conseil devraient être blâmés et moralement jugés responsable de ce retard. Les politiciens israéliens et les commandants militaires aussi devraient être tenues responsables de leurs réactions disproportionnées et inflictions inutiles des dommages aux populations et aux infrastructures civiles libanaises. Ce n'est pas de dire que les attaques aveugles de Hezbollah sur les villes indéfendues et les populations de l'Israël sont légitimes par aucune des mesures légales ou humanitaires.
La communauté internationale et les établissements humanitaires ont le devoir et la position incontestables pour apporter le cas à la Cour Criminelle Internationale (ICC) ou d'autres tribunaux appropriés pour le litige éventuel et ne devraient pas laisser ces actions non récompensées.
Maintenant qu'un cessez-le-feu fragile est établi, il est nécessaire que le monde dans l'ensemble, particulièrement les grandes puissances et les états riches de la région, contribuent rapidement à la reconstruction du Liban déchiré par la guerre avant le début des saisons froides.
Ni l'Israël ni le Hezbollah et leurs protecteurs ne devraient être fiers de ce qui s'est produit pendant les 33 jours de destructions et du carnage dans cette région. Au contraire, toutes les parties concernées dans cette catastrophe devraient avoir honte de la manière qu'elles ont manipulé cette crise malheureuse. La communauté internationale doit également apprendre beaucoup de leçons de cet enchevêtrement. J'élaborerai sur ce dernier dans mes futurs commentaires. /
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